L’UWE dans la presse | Archives 2e semestre 2021

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L’UWE dans la presse | Archives 2e semestre 2021

Nous épinglons ici les extraits de presse vous permettant de prendre la mesure des dossiers et des sujets sur lesquels l’UWE a été amenée à prendre position…

[ Retour aux recensions les plus récentes ]

11.12.21 - Olivier de Wasseige : «La crise va faire perdre 20 milliards de PIB à la Wallonie»

Olivier de Wasseige était « L’invité du week-end » de La Libre dans son édition de ces samedi et dimanche. Il y a notamment abordé la soutenabilité de la dette wallonne, les nécessaires réformes structurelles à mener, l’emploi, les métiers en pénurie…

» A lire dans La Libre (réservé aux abonnés)

10.12.21 - Point Conjoncturel : «Coup de frein sur la reprise...»

Belle répercussion dans la presse de notre dernier Point Conjoncturel intitulé « Coup de frein sur la reprise : pandémie et inflation sèment le trouble« . On peut notamment y lire que si la croissance est toujours bien au rendez-vous en Wallonie, elle ralentit, en partie à cause de l’inflation, des contraintes d’offres et de la récente recrudescence de l’épidémie. Résultat : l’année 2021 ne tiendra pas toutes ses promesses et l’horizon semble déjà se boucher dangereusement pour 2022. Dans ce contexte, le poids de la dette publique pourrait bien limiter la capacité de réaction de la Région et aggraver la situation de notre économie. 

» A lire dans La Libre, Trends Tendances, L’Echo, L’Avenir et SudPresse
» A voir sur Canal Z et LN24 (à partir de 04’38’’)
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE à ce propos

01.12.21 - Plan de Relance : «Il y a une absence de stratégie globale»

L a désillusion est grande à l’Union Wallonne des Entreprises où Olivier de Wasseige, l’administrateur délégué, n’hésite pas à parler de perte de confiance vis-à-vis du gouvernement wallon. « Le 8 octobre 2020, l’UWE sortait ses idées pour le plan de relance en estimant que la Wallonie avait un dernier joker pour se relancer. On demandait notamment au gouvernement d’en finir avec le saupoudrage. Il faut avouer que c’est raté quand on lit le plan de relance du gouvernement. Nous demandions des investissements rentables dont on pouvait mesurer l’impact. Il y en a, mais le plan récupère une bonne partie de la DPR avec des mesures qui ne sont pas rentables. Nous demandions de la rigueur budgétaire. Or, avec le plan de relance, le gouvernement ouvre des dépenses qui pourraient générer des dépenses récurrentes. Bref, il y a une perte de confiance vis-à-vis du gouvernement. C’est un véritable sentiment de déception chez nos membres ».

Pour Olivier de Wasseige, il s’agit là d’un manque de vision : « Il y a une absence de stratégie globale. Il manque une vision transversale. Il suffit de voir la façon dont les budgets du plan sont répartis entre partis politiques. Le gouvernement a préféré la clé D’Hondt plutôt que la clé du succès ». 

» A lire dans L’Echo, Le Soir et La Libre Belgique
» A écouter sur RTBF-radio (àpd 12’ 00’’) et Classic 21
» A voir sur Canal Z

26.11.21 - Décisions du CodeCo : le patronat demande des mesures ciblées

S’il dit comprendre les mesures annoncées au cours du Comité de concertation de ce 26 novembre, le patronat estime qu’elles doivent s’accompagner de mesures (régionales) ciblées destinées à soutenir les entreprises immédiatement concernées. Il demande également au gouvernement de prolonger le régime flexible de chômage temporaire jusqu’à la fin mars 2022. 

L’Union Wallonne des Entreprises (UWE) demande un soutien spécial aux secteurs de l’Horeca et de l’événementiel, qui figurent parmi ceux « qui se sont vus imposer le plus de contraintes en termes de conditions d’accès et d’équipements, avec des investissements lourds à la clé ». Olivier de Wasseige, le directeur général de l’UWE, affirme : « Comme nous le faisons depuis le début de la crise, nous allons continuer d’intervenir auprès des différents gouvernements pour obtenir des mesures de soutien à ces secteurs touchés, que ce soit celui des traiteurs, des organisateurs d’événement, du monde de la nuit et autres. Il est indispensable de prolonger ou de réactiver ces mesures pour éviter des drames ».

Quant à la prolongation du télétravail, quatre jours par semaine jusqu’au 19 décembre au moins, le responsable de l’UWE rappelle que « le monde des entreprises a organisé le télétravail partout où cela était possible, et l’a renforcé à chaque fois que le Codeco l’a exigé ». Fort de ce constat, il invite les autorités à ne pas faire peser de charge administrative sur les sociétés dans la mise en oeuvre de ce télétravail. « Dans de nombreuses entreprises, gérer et monitorer au jour le jour ces obligations administratives est un casse-tête dont les entreprises se seraient bien passé. Les obligations administratives imposées sont inapplicables ».

» A lire dans Le Soir, La Libre, SudPresse, L’Avenir et sur RTL-info, Le Soir+, LPost.be,
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE à ce propos

18 et 21.11.21 - Télétravail obligatoire : la colère des patrons

« Nous sommes totalement surpris et choqués par les mesures prises vis-à-vis des entreprises ! » Olivier de Wasseige n’y va pas quatre chemins. Pour l’administrateur délégué de l’UWE, le retour du télétravail obligatoire est incompréhensible.

Dans les organisations patronales, on rappelle d’abord que de nombreuses mesures sont déjà en place dans les entreprises pour lutter contre la propagation du virus. « Le télétravail est déjà la norme et le lieu de travail reste soumis aux nombreuses mesures du Guide générique. L’impact sur le nombre de contaminations sera donc négligeable », réagit-on au sein de la FEB (Fédération des entreprises de Belgique). « On a divisé les espaces de travail en deux, trois ou quatre suivant l’espace par collaborateur, on a mis des sens de circulation dans les couloirs, la cafétéria est limitée à X personnes…, complète Olivier de Wasseige, qui pointe l’asymétrie de la mesure. Après sa journée de télétravail, un travailleur va pouvoir aller faire un sport de contact dans une salle fermée, puis aller au restaurant, puis en boîte de nuit. Il faut m’expliquer où est la cohérence ! »

» A lire dans Le Soir, La Libre, SudPresse, L’Avenir, Trends Tendances, Metro
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE à ce propos
» Le 21 novembre, Olivier de Wasseige participait à un débat sur le télétravail dans l’émission
    « C’est pas tous les jours dimanche » sur RTL-TVI :  revoir la séquence sur RTLplay (à partir de 39’20’’).
» Le même jour, il a été interviewé pour le JT de 19h00 de cette même chaîne : revoir la séquence sur RTL-info

16.11.21 - Télétravail obligatoire : ni efficace, ni cohérent !

Dans le cadre du Codeco de ce mercredi 17 novembre, l’Union Wallonne des Entreprises regrette que la piste du télétravail obligatoire et généralisé soit à nouveau mise sur la table. L’UWE rappelle tout d’abord que les entreprises respectent le guide sanitaire et que le télétravail n’a jamais cessé d’être fortement privilégié dans toutes les situations où il était possible… « Cette approche responsable a porté ses fruits : à aucun moment depuis mars 2020, les analyses scientifiques n’ont révélé une hausse des contaminations sur les lieux de travail. Rendre le télétravail obligatoire est donc une mesure inutile et aux effets indirects contre-productifs ».

L’UWE insiste également sur l’importance d’un ensemble de mesures cohérentes afin d’en faciliter la lisibilité et d’augmenter l’adhésion de la population. Comme le souligne Olivier de Wasseige : « A force de multiplier des mesures spécifiques pour des situations particulières de la vie professionnelle, familiale et sociale, la population risque de ne plus comprendre la logique de ces décisions asymétriques et de ne plus adhérer à leurs objectifs. Ne pas imposer aveuglément le télétravail participe donc à ce devoir de cohérence ! »

» A lire dans L’Echo, Le Soir, Le Vif, CCImag et sur 7sur7 et RTBFinfo
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE à ce propos
» Le 15 novembre, Olivier de Wasseige était interviewé sur le télétravail dans le 13h de RTL-Tvi : revoir la séquence sur RTL-info

02.11.21 - Climat : les entreprises n’ont pas attendu les «COP» pour prendre des mesures

Olivier de Wasseige était, ce matin, l’invité de «Matin Première» sur la RTBF-radio. L’administrateur délégué de l’UWE répondait aux questions de Danielle Welter au sujet de la COP26 et de la question sous-jacente : « Ecologie et économie sont-elles conciliables ? ». Il est également intervenu sur l’application du Covid Safe Ticket et sur le plan de relance wallon…

A propos de l’urgence climatique, Olivier de Wasseige rappelle que les entreprises wallonnes n’ont pas attendu les différentes COP ou les manifestations dans la rue pour prendre des mesures face à l’enjeu climatique. Il précise que le secteur est celui qui a le plus réduit ses émissions depuis 1990 et que de nombreuses mesures et investissements sont réalisés dans ce cadre-là, en partenariat notamment avec le gouvernement wallon dans le cadre des « Accords de branche ». « Les entrepreneurs et chefs d’entreprise sont aussi des citoyens responsables. Ce sont des parents ou des grands-parents qui se rendent compte des enjeux climatiques extrêmement importants et qui n’attendent pas qu’on leur impose certaines choses pour faire des investissements, qu’on leur impose certaines contraintes… ». Tout cela doit se faire dans un cadre soutenant et de toute façon, ajoute-t-il, le client demande qu’il y ait une évolution dans les produits et dans les processus. « Et donc, si on ne le faisait pas, les gens n’achèteraient plus les produits. Il y a donc aussi cette nécessité d’innover et l’innovation est extrêmement importante pour résoudre ces enjeux climatiques ».

» Revoir la séquence sur RTBF-auvio

26.10.21 - A l'avenir, un équilibre entre télétravail et présentiel devra être trouvé

Ce mardi matin, Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’Union Wallonne des Entreprises, était l’invité de Martin Buxant sur LN24. L’un des points abordé est l’évolution de la situation sanitaire, un CoDeCo étant prévu ce mardi avec un possible retour vers le télétravail. « On voudrait que la décision concerne les secteurs où c’est possible, pour ne pas en bloquer certains », explique Olivier de Wasseige. Selon lui, il y a eu une évolution significative sans être pour autant revenu à un modèle normal. « On ne reviendra pas à la situation du monde d’avant le Covid. A l’avenir, un équilibre devra être trouvé entre les deux ».

Olivier de Wasseige a ensuite fait l’état des lieux socio-économique de la Wallonie : « C’est difficile mais on s’est bien remis de la crise. Il faut maintenant prendre des mesures qui ne feront pas empirer la situation ». Mais quel secteur s’en tire le mieux ? Selon Olivier de Wasseige, certains s’en tirent bien comme avant comme la construction, les secteurs services… Ceux qui sont toujours en difficulté sont l’Horeca, la culture…, toujours limités.

A propos du plan de relance wallon, Olivier de Wasseige s’était auparavant montré assez sceptique, est-ce que son avis a évolu ? « On y croit, une bonne partie du contenu est bien, mais on a pas encore la version officielle. C’est long, mais il a été mis au frigo par les inondations. Il va surtout falloir travailler sur les priorités : les pénuries, l’emploi, la réforme de l’alternance, l’énergie ».

Sur la réforme du paysage de l’emploi, Olivier de Wasseige pense que la région devrait avoir tous les outils pour le faire soi-même, c’est-à-dire régionaliser ces compétences. « Sur les 125 métiers en pénurie, la construction et transport, c’est une catastrophe ». En effet, il y a actuellement 34.000 emplois vacants en Wallonie, dont 4.000 dans le secteur de la construction.

» A voir sur LN24

17.09.21 - Passage de relais à la présidence UWE

Près de 200 personnes, issues du monde économique et politique, était présentes (dans le respect des règles sanitaires) – et plus de 300 personnes en visioconférence – pour assister au passage de relais à la présidence UWE – Pierre MOTTET succédant à Jacques CRAHAY pour une période de trois ans. Une prise de fonction qui a bénéficié d’une belle couverture presse…

» A lire dans La Libre, L’Echo, Trends Tendances, Le Soir et l’Avenir
» A voir sur Canal Z
» Revivez La Rentrée de l’UWE dans son intégralité

06.09.21 - Forcer les chômeurs à travailler ou augmenter les salaires ?

Ce lundi 6 septembre, QR l’actu faisait le point sur cette problématique avec Olivier De Wasseige, administrateur délégué de l’Union Wallonne des Entreprises, et Basilio Napoli, Directeur général Stratégie au Forem.

Pour Olivier De Wasseige, beaucoup se plaignent de payer pour ceux qui refusent de travailler et qui restent au chômage. « Le goût de l’effort se perd, souligne-t-il. Travailler, c’est contribuer à un projet de société. C’est rendre à la société ce qu’elle me donne. En travaillant, je contribue à payer les soins de santé, les infrastructures, l’école… Derrière cela, il y a un problème sociétal, c’est le sens de la valeur du travail ».

Et l’Administrateur délégué de l’UWE de pointer du doigt, notamment, la problématique des bas salaires : « Cela fait longtemps que nous plaidons pour une revalorisation du salaire net pour les bas salaires. Il est évident que l’écart entre les bas salaires et l’allocation de chômage est trop faible et n’incite pas suffisamment les chômeurs à travailler. Cela dit, il faut pouvoir augmenter ce salaire net du travailleur sans augmenter les charges patronales ».

» A lire sur RTBF-info
» Revoir l’émission sur RTBF-auvio

01.09.21 - L'inflation en hausse menace les entreprises les plus fragiles

La croissance soutenue que l’on connaît depuis quelques mois au sortir de la crise sanitaire ne suffit pas à compenser la reprise très marquée de l’inflation. Pour les entreprises les plus fragiles, le choc sera brutal.

Le calcul est «simplement» arithmétique. Avec le dépassement de l’indice pivot en Belgique, les salaires vont augmenter et alourdir d’autant les charges des entreprises déjà touchées par la hausse des coûts de l’énergie, principal vecteur de cette flambée d’inflation. « Et l’on risque de perdre encore du terrain en matière de compétitivité par rapport à nos voisins, craint Olivier de Wasseige, administrateur délégué de l’UWE, qui pointe un déficit de 8 à 10% sur ce plan. Dans certains secteurs comme la construction notamment, la hausse des salaires viendra s’ajouter à des effets de pénurie de matières premières qui poussent également les prix à la hausse. Déjà ces derniers mois, la hausse des prix de certains matériaux de base comme le bois ou l’isolation est astronomique et met une pression terrible sur les entreprises et leurs clients ».

» A lire dans L’Echo

26.08 et 02.09.21 - La Francophonie représente 27% des exportations

Ces 24 et 25 août, l’UWE, accompagnée par le ministre de l’économie wallon Willy Borsus, a mobilisé une trentaine d’entreprises pour la Rencontre des Entrepreneurs Francophones (#LaREF21) , prestigieux rassemblement d’entreprises francophones du monde entier organisé à Paris par le MEDEF.

« C’est important que la Wallonie soit représentée. Avec 1% de la population francophone mondiale, la Wallonie représente 3% du PIB de la francophonie. C’est à souligner », se réjouit Olivier de Wasseige, administrateur délégué de l’UWE, équipé d’un masque «made in Wallonie». « Avec 10% du PIB mondial, la francophonie et les pays en croissance constituent des marchés d’exportations potentielles importants, ajoute-t-il. On ne veut pas se renfermer sur la francophonie mais c’est important de faciliter ces relations ».

» A lire dans La Libre, L’Echo et Trends/Tendances
» Commentaires et interviews sur la RTBF-radio (La Première et Vivacité)

19.08.21 - L’emploi wallon n’est pas prêt pour le plan de relance

Dans un long entretien accordé à La Libre Belgique, Olivier de Wasseige fait le point sur la gestion de la crise sanitaire, sur celle des conséquences des inondations et sur le début des travaux opérationnels autour du plan de relance. Pour l’Administrateur délégué de l’UWE, la Wallonie n’est pas encore prête à faire face aux projets de ce plan de relance. Il plaide pour des solutions rapides pour fluidifier le marché de l’emploi et explore notamment la piste des crèches pour résoudre une partie de la problématique du taux d’emploi.

» A lire dans La Libre

Pour plus d’infos, contactez Benoît MINET, Responsable Communication :
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