L’UWE dans la presse | Archives 2022

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L’UWE dans la presse | Archives 2022

Nous épinglons ici les extraits de presse vous permettant de prendre la mesure des dossiers et des sujets sur lesquels l’UWE a été amenée à prendre position…

[ Retour aux recensions les plus récentes ]

30.11.22 - Le patronat wallon se projette avec «Odyssée 2068»

Fruit d’une réflexion multiple qu’elle endosse pleinement, l’Union wallonne des entreprises imagine la trajectoire devant mener à une Wallonie « innovante, attractive, qui fédère et responsabilise, et respecte l’environnement ». C réer un «Wallonia Institute of Technology». Mais aussi « éduquer à la citoyenneté responsable et à la gouvernance humble » ou « construire un avenir énergétique sécurisé et durable en carbone », telles sont quelques-unes des « impulsions » épinglées par l’Union Wallonne des Entreprises (UWE) au terme d’un vaste exercice de projection dans l’avenir baptisé « Odyssée 2068 ». « Un exercice qui est né à l’occasion des 50 ans de l’UWE, en 2018, et qui est le fruit d’une vaste réflexion à laquelle ont contribué depuis lors quelque 800 personnes issues de tous horizons, rassemblées par thématiques dans le cadre de 50 ateliers, précise Olivier de Wasseige, administrateur délégué de la fédération patronale. La référence à 2068 est purement théorique : l’idée était, sinon de se projeter dans les 50 années à venir, au moins dans une perspective de long terme, au-delà de l’horizon classique d’un mémorandum ou d’une législature ».

» A lire dans L’Echo, La Libre Belgique, L’Avenir et sur Le Soir+, trends.levif.be et lpost.be
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE à ce sujet

28.10.22 - Les entreprises consomment leurs réserves pour payer les salaires et l’énergie

Olivier de Wasseige était l’invité de Jeudi en Prime, en direct sur la RTBF. Il répondait aux questions de Thomas Gadisseux face à Jean-François Tamellini, Secrétaire général de la FGTB wallonne. Ensemble, ils ont abordé de nombreux sujets tels que la crise et ses conséquences à venir, le climat social, l’emploi, ou encore le Plan de Relance…

» Revoir l’émission sur RTBF-auvio
» Lire l’article résumant le débat sur RTBF.be

12.10.22 - Point Conjoncturel de l'UWE : «La crise de trop ! Le pire est à venir !»

Ce mercredi 12 octobre, chez Carmeuse, l’Union Wallonne des Entreprises présentait son dernier Point Conjoncturel, intitulé : « La crise de trop ! Le pire est à venir ! », avec à la clé de nombreux retours dans les journaux papier mais aussi en télévision.

» A lire dans Le Soir, L’Écho, La Libre, L’Avenir et Trends-Tendances
» Visionnez les interviews de Juan Murillo, CEO de Carmeuse, et Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’UWE sur : RTBF (JT de midi), RTBF (JT du soir), LN24, CanalZ, RTL-TVI  et sur La Première (RTBF radio) (à partir de 3’51’’)
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE à ce sujet
» Consultez le « Point Conjoncturel #41 » (format 100% digital)

05.10.22 - L’UWE invite la Wallonie à réduire d’un tiers son emploi public

L’Union Wallonne des Entreprises suggère à la Wallonie de revoir de A à Z le périmètre de son action publique. « La place de l’emploi public est disproportionnée en Wallonie par rapport aux autres pays européens. La Wallonie n’a pas aujourd’hui de marges budgétaires pour financer cette générosité », estime Olivier de Wasseige, l’administrateur délégué de l’UWE.

D’ après les données collectées par le patronat wallon, l’emploi public représente 36% de l’emploi global en Wallonie, contre 27% en Flandre. Il y aurait ainsi 1.190 emplois publics pour 10.000 habitants. « L’ambition est de voir comment on pourrait faire mieux pour moins cher », souligne pour sa part Pierre Mottet, le président de l’UWE.

Les patrons plaident ainsi pour un recentrage de l’État à sa juste valeur. L’UWE la défend à travers 15 propositions. Au-delà des missions régaliennes et essentielles comme l’éducation, la santé, la culture, le social, l’environnement ou l’économie, la Région devrait ainsi se limiter au rôle de grand ensemblier et régulateur en fixant le cadre général et régulatoire ou en mettant en place des dispositifs sans nécessairement les gérer lui-même. « La délégation de missions de service public au privé dans le cadre d’un encadrement efficient déchargerait adéquatement l’autorité de la charge opérationnelle tout en amenant des gains de productivités par les acteurs privés ». Olivier de Wasseige prend en exemple les services du TEC dont les lignes devraient être opérationnalisées par des acteurs privés. Il pointe aussi les formations dispensées par le Forem, des démarches administratives, les travaux publics et la maintenance des infrastructures publiques.

» A lire dans L’Echo, Le Vif, La Libre Belgique, CCImag, SudPresse, Het Nieuws Blad et sur Canal Z
» Voir l’intervention d’Olivier de Wasseige à ce sujet sur BelRTL
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE sur ce sujet
» Consultez le Position Paper de l’UWE (pdf) sur ce sujet

22.09.22 - L'indexation des salaires ne va pas dans le bon sens

Dans un long entretien accordé à la rédaction de Trends Tendances, Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’UWE, exprime sa crainte pour l’emploi. Il souligne combien l’indexation des salaires « ne va pas dans le bon sens » et réclame une réforme fiscale. « On n’imagine pas le tsunami social qui arrive », prévient-il.

» A lire dans Trends Tendances

07.09.22 - Le Forem appelé à renforcer ses formations

Feuille de route pour ces cinq prochaines années, le nouveau contrat de gestion du Forem a été signé ce mardi par les ministres wallons de l’Emploi et de l’Économie, Christie Morreale (PS) et Willy Borsus (MR), et différents représentants du comité de gestion du Forem. Dans ce cadre, il est notamment demandé à l’organisme public de renforcer les formations données aux demandeurs d’emploi.

Cosignataire, l’Union Wallonne des Entreprises sera particulièrement attentive à l’opérationnalisation concrète de cette feuille de route : « Le Forem devra non seulement relever les défis structurels du marché du travail tels les pénuries et les emplois vacants, conjoncturels tels la crise de l’énergie qui s’annonce avec ses impacts sur l’emploi, mais également celui de la maitrise de ses coûts. Son agilité devra se démontrer également dans le cadre de son pilotage interne, et ne pourra se réaliser sans une culture de l’évaluation assumée », estime Olivier de Wasseige, administrateur délégué de l’UWE.

» A lire dans L’Echo et L’Avenir
» Consultez le communiqué de presse de l’UWE sur ce sujet

06.09.22 - Coût de l'énergie : opération de sauvetage pour nos entreprises

Le 5 septembre dernier, Olivier de Wasseige a participé à la réunion à laquelle le Premier Ministre avait convié les représentants patronaux. Étaient aussi présents les ministres fédéraux Clarinval et Dermagne, les Ministres-Présidents et les ministres de l’économie des 3 régions. Chaque organisation patronale a listé ses demandes, qu’elles concernent les niveaux d’intervention européen, fédéral ou régional. Au sortir de cette réunion, l’Administrateur délégué de l’UWE a donné ses commentaires dans plusieurs médias.

» A voir sur RTBF-auvio, RTL-play et LN24 (émission « Pour info »)
» A lire dans Supresse
» Consultez également le communiqué de presse de l’UWE paru suite au Codeco du 31 août.

03.08.22 - Pénurie de main-d’œuvre : un problème de plus en plus criant

Olivier de Wasseige a été interviewé pour le JT de la RTBF au sujet des pénuries de main-d’œuvre dans les entreprises. Pour l’Administrateur délégué de l’UWE, « le monde de l’enseignement/formation oriente trop peu les jeunes vers les métiers en pénurie où ils ont la garantie d’avoir un emploi ».

» Voir l’interview sur RTBF-auvio

02.07.22 - L'UWE presse le ministre Henry de revoir sa copie sur la fiscalité automobile

En début de semaine, le ministre wallon de la Mobilité, Philippe Henry (Écolo), sortait son avant-projet de réforme de la taxation auto­mobile en Wallonie. L’UWE considère que la réforme proposée passe complè­tement à côté des véritables enjeux. Pour l’organisation patronale, « cette réforme n’aura aucun impact sur la mobilité elle-même. Une petite voiture, même si elle prend un peu moins de place qu’une grosse, parti­cipe autant à la congestion du trafic. C’est une occasion ratée de collaborer avec les deux autres Régions du pays : un projet de prélèvement kilométrique intelligent ». Un projet toujours accueilli frileusement par le gouvernement… « Je pense qu’au niveau du gouvernement, on craint de venir avec un projet de réforme électoralement des­tructeur alors que, selon nous, c’est la seule solution, explique Samüel Saelens, Directeur du Pôle Compétences de l’UWE. Un prélèvement kilométrique intelli­gent doit remplacer notre système actuel dans les trois ans. Il faut pren­dre le temps d’y réfléchir et de définir un modèle technique et juridique so­lide. Ainsi, les gens pourraient anticiper leur mobilité de ma­nière plus sereine ».

» A lire dans La Libre Belgique
» Voir l’intervention de l’UWE à ce sujet dans le JT de RTL-tvi

23.06.22 - 141 métiers cherchent désespérément des travailleurs

Le Forem a 80.000 offres d’emploi, le double d’avant la crise sanitaire. Pourtant, il y avait, en mai, 194.968 demandeurs d’emploi en Wallonie. On ne peut donc parler de manque d’effectif réel. Pourquoi un tel manque d’adéquation entre ces deux mondes, celui des entreprises et celui des forces vives ? « La cause initiale, c’est l’enseignement, réagit Olivier de Wasseige, administrateur délégué de l’UWE. Mais ça va bien au-delà des enseignants. Il faut revoir tout le système et la structure de l’enseignement ». Et notamment au niveau des filières techniques et professionnelles qui sont encore trop considérées comme des voies de relégation. « On oriente mal les jeunes, poursuit Olivier de Wasseige. Il faut les sensibiliser, ainsi que leurs parents, sur les filières qui mènent à l’emploi. La formation en alternance est une voie royale pour l’emploi, mais elle est dévalorisée. En outre, on sait qu’il y a une corrélation totale entre le niveau du diplôme et la chance de trouver un job. Et les entreprises recrutent des gens davantage formés, suite à l’évolution technologique. L’enseignement a un grand rôle à jouer ».

» A lire dans L’Echo

20.06.22 - Indexation automatique des salaires : un mécanisme dépassé ?

Pierre Mottet, Président de l’UWE, est intervenu en direct sur LN24 ce lundi 20 juin dans l’émission « Pour info » présentée par Julien Bal. Sa participation à ce débat s’inscrivait dans le cadre de la grève nationale et portait sur la thématique suivante : « Pouvoir d’achat et santé des entreprises, deux objectifs contradictoires ? ».

» Revoir l’intervention de Pierre Mottet sur LN24

26.05.22 - On engage en Wallonie !

Les postes vacants ne manquent pas en Belgique, a fortiori à Bruxelles et en Wallonie. Ce n’est pas nouveau. Mais la pénurie d’emplois, qu’on déplore depuis au moins deux décennies, n’a jamais été aussi critique. Dans le sud du pays, l’Union Wallonne des Entreprises évalue le nombre d’emplois vacants, qui ne sont structurellement pas pourvus, à plus de 40.000. « Ils n’ont jamais été aussi nombreux, nous dit son Administrateur délégué, Olivier de Wasseige. Depuis fin 2020, ça a grimpé de 50%. Il faut remonter à 2017 pour voir ce chiffre dépasser les 30.000 ». Oui, on engage, y compris en Wallonie, donc. Chaque année depuis 2015, le Forem, l’Office wallon de l’emploi et de la formation professionnelle, publie une liste des métiers en pénurie ou critiques. Il y a sept ans, la première comptait à peine septante fonctions. La dernière, en juin 2021, en recensait 126. Celle qui est annoncée pour le début de cet été devrait être encore plus fournie.

» A lire dans Le Vif/L’Express

23.05.22 - Budget : l'ajustement wallon déçoit les employeurs

Les employeurs se montrent critiques à l’égard de l’ajustement budgétaire du gouvernement wallon. L’UCM et l’UWE constatent des zones d’ombre et s’inquiètent du niveau d’endettement. Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’UWE, a été interviewé pour le JT de Canal Z à ce sujet.

» Voir l’interview sur Canal Z

23.05.22 - Il y a encore beaucoup de gras dans les finances wallonnes

L’administrateur-délégué de l’Union Wallonne des Entreprises (UWE), Olivier de Wasseige est inquiet. Alors que durant tout le week-end, le Gouvernement wallon a finalisé son ajustement budgétaire, il craint que l’exécutif évite une nouvelle fois de réaliser une diminution drastique des dépenses wallonnes. « Il y a encore du gras dans les finances wallonnes, quoi qu’ils en disent. À l’UWE nous sommes convaincus qu’en agissant sur les dépenses, on peut arriver à redresser les finances de la Wallonie sans devoir pour autant lever de nouvelles taxes ».

Le Gouvernement wallon présentera le résultat de ses travaux ce matin. Olivier de Wasseige espère que la question du financement du plan de relance sera elle aussi revue. « Nous nous sommes entendus avec le gouvernement wallon (NdlR : aux côtés des syndicats et des acteurs environnementaux) pour cibler un certain nombre d’actions prioritaires. Le gouvernement doit se focaliser sur ces actions ».

» A lire dans La Libre

18.05.22 - 40.000 entreprises ont été créées en Belgique en un an

Suite à la sortie du 3e Baromètre des Entreprises de la Fédération du Notariat (Fednot), Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’UWE, intervenait en direct dans le JT de RTL-TVI. Il a notamment évoqué le nombre d’entreprises créées cette année, plus élevé que l’an dernier : « Il y a une dynamique extrêmement positive de création d’entreprises en Wallonie ». Selon le Baromètre , près de 40.000 nouvelles sociétés ont en effet été créées en Belgique du 1er mai 2021 au 30 avril 2022, soit une augmentation de 5% par rapport à la période précédente. C’est la province de Liège qui compte la plus grande progression.

» Revoir l’intervention d’Olivier de Wasseige sur RTL-info

28.04.22 - Une nouvelle baisse de moral pour les patrons wallons...

Après la crise du Covid, l’économie wallonne est une nouvelle fois mise en difficulté avec la guerre en Ukraine. Les entrepreneurs wallons voient en effet les perspectives se détériorer pour les six prochains mois. Un constat qui tranche avec l’année 2021, marquée par un rattrapage économique important (+5,7%), soulignait ce mercredi Olivier Pauwels, expert à l’Union wallonne des entreprises (UWE), dans le cadre du point conjoncturel de l’organisation patronale.

Cette nouvelle crise aura nécessairement un coût, et « chacun des agents économiques devra en assumer sa part : les entreprises, les consommateurs et les autorités », avance Olivier de Wasseige, administrateur délégué de l’UWE. Néanmoins, « les ressources des entreprises devront être préservées pour leur permettre de continuer à investir, à innover, à recruter ». Sur l’explosion du prix de l’énergie, l’organisation patronale indique notamment que des mesures devront être prises afin de réduire temporairement « le niveau des surcharges […]. Ce que nous demandons au gouvernement wallon, c’est de réduire ces taxes ».

Enfin, dans un tel contexte, Olivier de Wasseige estime que le plan de relance wallon devra aboutir et « concentrer ses efforts sur ses priorités ».

» A lire dans La Libre, l’Echo, l’Avenir et Grenz Echo et sur RTBF-info
» Voir les reportages et interviews à ce sujet sur LN24, Canal Z et MaTélé
» Consultez le communiqué de presse à ce propos

29.03.22 - Accord inédit sur le plan de relance wallon !

Le Gouvernement wallon et l’ensemble des partenaires sociaux et environnementaux ont scellé hier leur accord sur le plan de relance wallon. Dans leurs éditions de ce jour, tous les quotidiens reviennent sur cette actualité en soulignant le rôle prépondérant joué par l’UWE dans cet accord inédit.

» A lire dans Le Soir, La Libre, l’Echo, l’Avenir et la DH
» Voir les reportages et interviews à ce sujet sur RTL-info, RTBF-auvio (àpd 10’33’’), Canal Z et LN24
» Consultez le communiqué de presse à ce propos

14.03.22 - L'UWE remet ses recommandations dans le cadre du futur Plan Air-Climat-Energie

L’Union Wallonne des Entreprises a présenté lundi à Baileux (Chimay) au Ministre wallon du Climat, Philippe Henry, ses recommandations pour coller à l’objectif de la nouvelle version du Plan-Air-Climat-Energie d’une réduction de 55% des gaz à effet de serre entre 1990 et 2030. « L’effort de réduction de 55% ne doit pas être considéré de façon individuelle mais de façon globale », a indiqué Olivier de Wasseige, le patron de l’UWE. Selon lui, « les entreprises ont déjà réalisé des efforts et sont même le secteur qui jusqu’ici a diminué le plus ses émissions ». Les entreprises sont notamment impliquées dans différents accords de branche. Ceux de la première génération ont insisté sur l’efficacité énergétique, ceux de la seconde sur les énergies renouvelables notamment.

L’UWE a également souligné l’importance de l’autoproduction d’énergies renouvelables et en parallèle la possibilité de pouvoir développer des communautés d’énergie groupant des entités différentes.  L’UWE a formulé en outre la volonté d’aboutir à un cadre légal stable, qui soutienne l’investissement et favorise une attitude « business friendly ».

» A lire dans L’Avenir, sur RTBF.be et sur SudPresse.be
» Voir le reportage à ce sujet diffusé lors du JT de 19h30 sur RTBF-auvio (àpd 5’00 »)

11.03.22 - Le développement durable comme levier de croissance

Pierre Mottet signe l’édito du supplément de Trends «Fokus industrie» consacré aux stratégies de développement durable, aux 17 ODD de l’ONU, et à la ré-industrialisation verte et digitale de la Wallonie comme véritable levier de croissance qui permettra d’aboutir à un développement économiquement viable, socialement équitable et environnementalement reproductible.

Dans son édito que vous trouverez dans le PDF joint, Pierre y rappelle que la succession des crises oblige les entreprises à se réinventer, à témoigner d’une énorme capacité de résilience, en lien avec la société civile. Il se réjouit de voir de nouvelles générations d’entreprises et d’entrepreneurs émerger pour répondre aux enjeux économiques, mais plus globalement aux enjeux sociétaux. Avec des ambitions, pour eux, pour leur entreprise et pour la planète. Il rappelle qu’en tant que Président de l’Union Wallonne des Entreprises, il est lui-même ambitieux pour notre Région : la Wallonie ne doit pas seulement rattraper son retard, elle doit carrément vouloir être en tête. La Wallonie a beaucoup d’atouts.  Pour être en tête doit être durable : toutes les composantes du développement durable doivent être prises en comptes pour relever ce défi !

» A lire dans « Focus industrie » (Trends)

10.03.22 - Conséquences de la hausse des prix de l’énergie sur les entreprises

L’Administrateur délégué de l’UWE Olivier de Wasseige et Juan Murillo, General Manager de Carmeuse Western Europe et administrateur de l’UWE, ont été interviewés pour un reportage consacré aux conséquences de la hausse des prix de l’énergie sur les entreprises. Ce reportage a été diffusé dans le JT de la RTBF de 19h30 ce jeudi soir et des extraits ont eux été diffusés en radio dans différents JP de La Première et de Vivacité. Ils y mettent l’accent sur les risques qui pèsent sur la rentabilité des entreprises, sur l’organisation de la production et, pour certaines entreprises, sur l’emploi.

» A revoir sur RTBF-auvio (àpd 18’10 »)
» Olivier de Wasseige est intervenu sur le même sujet dans l’émission « QR – Le débat »: revisionnez l’émission sur RTBF-auvio

10.03.22 - Forem : il faut arrêter de laisser les chômeurs se former dans des voies sans issue

L’Administrateur délégué de l’UWE Olivier de Wasseige était également largement interviewé dans un reportage de l’émission «Investigation» sur la RTBF. Il y a regretté le manque d’agilité du Forem et l’absence de réponse dynamique et d’adaptation des formations aux évolutions des métiers et des demandes des entreprises. Il a rappelé le problème récurrent et même exponentiel des pénuries et les énormes difficulté de recrutement des entreprises. Il a reconnu que les entreprises ont-elles aussi du chemin à faire pour rendre certains métiers attractifs. Il a enfin souligné le problèmes des indicateurs dans le taux de mise à l’emploi.

» Revoir la séquence sur RTBF-auvio (àpd 53’49 »)

09.03.22 - Crise de l'énergie : les entreprises oubliées par le Fédéral ?

Invité de l’émission « Il faut qu’on parle » sur DH Radio ce mercredi, le patron de l’UWE Olivier de Wasseige ne veut pas que les entreprises soient les « oubliées » des mesures fédérales octroyées pour faire face à la crise de l’énergie. Selon l’administrateur délégué de l’Union Wallonne des Entreprises, l’énergie devient de moins en moins payable pour les patrons actifs en Wallonie. « On voit aujourd’hui des entreprises qui décident d’arrêter certaines lignes de production. C’est notamment le cas d’AGC à Fleurus. En plus de l’énergie, il y a aussi le coût salarial, qui est plus important en Belgique par rapport à d’autres pays européens. C’est un ensemble de facteurs qui fait que des sociétés décident de fermer certaines lignes de production ».

Ce mercredi matin, le gouvernement se réunit afin de trouver des solutions à cette crise de l’énergie depuis que la Russie a envahi l’Ukraine. Parmi les options sur la table, on retrouve notamment la baisse de la TVA à 6% sur l’électricité et sur le gaz pour les citoyens, mais pas encore de proposition de mesures pour soutenir le patronat. « On se sent un peu oublié par le Fédéral, avoue Olivier de Wasseige. Il va falloir trouver des solutions par rapport aux entreprises comme une diminution des taxes, même si cela ne résoudra pas tout, ou encore des aides de l’État. Mais là aussi, ça a un impact sur le budget de l’État et celui-ci ne pourra pas absorber toute l’augmentation que l’on vit aujourd’hui. Mais il faut faire attention car si on commence à fermer des lignes de production, ça veut aussi dire des mises au chômage ».

»Revoir l’émission sur dhnet.be

05.03.22 - L’UWE veut plus de réactivité du Forem face aux pénuries de main-d’œuvre

L’UWE s’inquiète de plus en plus face aux pénuries de main-d’œuvre. La fédération patronale régionale déplore un manque d’agilité du Forem durant la crise du covid. « On sait que les pénuries ne sont pas créées par le Forem, mais il n’arrange pas les choses ». Olivier De Wasseige, le directeur général de l’UWE n’y va pas de main morte pour dénoncer la lenteur de la réaction face aux pénuries de main-d’œuvre. Et la gestion récente de la crise a, dit-il, encore aggravé le problème. L’organisme de placement a mis en sourdine ses contrôles de disponibilité d’emploi et – en début de pandémie du moins – ses formations, ce qui n’a fait qu’aggraver les difficultés des entreprises à trouver des candidats.

L’UWE insiste également pour une amélioration rapide de ce volet formations. «Le nombre de demandeurs d’emploi en formation a chuté en 2020 à 18.000, et 16.000 sur les trois premiers trimestres de 2021, (contre 30.000 en 2019) dont 5.000 seulement pour les métiers en pénurie. Et le taux d’insertion n’est globalement que de 48% après 6 mois de formation, déplore Olivier de Wasseige. Il faut arrêter de laisser les chômeurs se former dans des voies sans issue, mieux les orienter vers des formations pour lesquelles il y a de l’emploi ».

» A lire dans L’Echo

03.03.22 - Ukraine : les entreprises wallonnes seront aussi touchées par la guerre

Plus de 50 entreprises belges sont actives sur le marché russe dans différents secteurs et les conséquences de la guerre en Ukraine commence déjà à se faire sentir… De manière générale, les entreprises qui exportent vers l’Ukraine ou la Russie risquent de voir leur carnet de commandes diminuer, et celles qui importent rencontrer des difficultés d’approvisionnement en matières premières ou en produits à valeur ajoutée.

Au niveau des importations, ce sont les entreprises belges qui utilisent des produits bruts comme l’acier, le bois (construction, meubles…), le charbon ou les phosphates (industrie chimique) en provenance de la zone de conflit qui devraient être parmi les plus touchées. « Il y a un risque que l’Europe taxe les importations de produits russes dans l’espoir d’inciter les entreprises à se fournir ailleurs, décrypte Olivier De Wasseige, CEO de l’UWE. Mais ce n’est pas toujours possible de trouver l’équivalent en qualité, en quantité et à un prix équivalent dans un autre pays ».

La Russie et l’Ukraine sont aussi le “grenier à blé” de l’Europe. D’après l’UWE, 51% des céréales, 63% du maïs et 25% du froment d’Europe viennent de ces deux pays. Ainsi, le secteur agroalimentaire qui utilise ces matières premières risque d’être sévèrement touché.  » Le prix des céréales est sur le point d’exploser. Or, une grande partie de nos pains en Belgique et en Wallonie est réalisée à partir de blé russe ou ukrainien. Les entreprises vont donc payer plus cher pour confectionner leur pain, et le prix de la miche va inévitablement augmenter ».

Les sociétés de logistique sont aussi menacées.  » Environ 86.000 tonnes de marchandises par an arrivent à Liege Airport par le biais de compagnies russes, explique Olivier De Wasseige. Maintenant que notre espace aérien est fermé, ce ballet va ralentir, ce qui aura des conséquences sur les entreprises de logistique qui s’occupent de la réception et du traitement de ces marchandises ».

« Enfin, il existe un risque important pour la Wallonie notamment au niveau des investissements étrangers, termine le CEO de l’UWE. L’Agence wallonne à l’exportation et aux investissements étrangers (Awex) a déjà fait part de ralentissements sur plusieurs dossiers, confidentiels, en lien avec des investisseurs russes ».

» A lire dans La Libre Belgique

23.02.22 - Oui, les Belges sont trop taxés !

Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’UWE, participait à l’émission « Q-R : le débat » sur la Une (RTBF) autour du thème « Les Belges sont-ils trop taxés ? ». Morceaux choisis :

Oui, le travail est beaucoup trop taxé en Belgique ! Les cotisations patronales sont de 27% alors qu’on est entre 7 et 13% dans les pays limitrophes… Quant au coût salarial, le handicap de compétitivité est cette fois de 11%, et de 27% par rapport à la zone EU

Aujourd’hui, on se retrouve dans un « coin fiscal », c’est à dire que 51,50% part dans les poches de l’Etat et seulement 48,50% dans les poches des salariés. Sur ce point, nous sommes malheureusement le premier pays de l’OCDE

L’UWE est convaincue que l’on peut faire mieux avec l’argent public et qu’il faut plus de contribution privée à la création de valeur ajoutée. On peut réduire la part publique en travaillant plus avec le privé dans certains organismes (Forem, TEC…)

On paie notre énergie 15% plus cher qu’à l’étranger, cela a, là encore, une impact sur notre compétitivité. Mais on paie aussi 15% plus cher notre énergie en Wallonie qu’en Flandre (en raison de la bulle des certificats verts liée aux panneaux photovoltaïques). Les nouvelles augmentations qui arrivent vont rendre la vie des entreprises encore plus difficile…

» Revoir l’émission sur RTBF-auvio

16.02.22 - Les fédérations patronales s'opposent à une sortie du nucléaire

La FEB,  le Voka, l’UWE et BECI appellent d’une seule voix à la prolongation de deux réacteurs nucléaires en Belgique. Les fédérations patronales insistent sur les risques que poserait une sortie totale de l’atome en 2025 sur la sécurité d’approvisionnement et les niveaux de prix de l’énergie, tout en augmentant les émissions de gaz à effet de serre. 

» A lire dans L’Echo, Le Soir, Le Vif, La Libre, Sudpresse, De Morgen, Het Laatste Nieuws
» Consultez le communiqué commun FEB-UWE-VOKA-BECI à ce propos

04.02.22 - Flambée des absences dues au variant Omicron

Le vote au Parlement du plan pour aider les entreprises à pallier les absences dues à Omicron a été retardé d’une semaine alors que le manque de main-d’œuvre commence à devenir critique : la FEB parle d’un taux d’absence trois fois supérieur à la normale. Le plan a beau être rétroactif, l’incertitude juridique d’un texte pourtant porté par la majorité freine les entreprises. De plus, il n’est valable que jusqu’au 28 février seulement, une date jugée serrée par l’UWE : « Dans certains secteurs, il faut compter une période d’apprentissage sur les machines », dit Olivier de Wasseige, son administrateur délégué, qui n’exclut pas qu’il faille finalement prolonger le dispositif. En Wallonie, le taux d’absences s’élève à 10-12% en moyenne. « L’impact est le plus faible dans la construction, 4,5% d’absences, explique Olivier de Wasseige. Mais le gros problème, c’est que les entreprises touchées accusent des retards dans leurs livraisons de chantiers, et se retrouvent à payer des pénalités ».

» A lire dans L’Echo

26.01.22 - Le patronat wallon appelle à une régulation des prix de l’électricité

À l’image du citoyen médusé face à la hausse des prix de l’énergie, les entreprises pestent contre une situation qui plombe leur compétitivité. En matière de coûts d’électricité, la facture serait particulièrement indigeste pour les entreprises situées en Wallonie en comparaison avec des concurrents basés à l’étranger et en Flandre. « Pour une entreprise qui consomme 100 MWh, la différence de prix est de 13% à 15% supérieure en Wallonie par rapport à la Flandre, s’inquiète Olivier de Wasseige, l’administrateur délégué de l’UWE. On se bat pour un saut d’index et gagner 2% de compétitivité et les entreprises wallonnes partent avec 13% de différence par rapport à la Flandre. C’est une double peine ! »

Entre les régions du pays, le prix de la commodité reste stable, mais les coûts de réseau et des obligations de service public (OSP), surcharges et prélèvements varient. En 2021, les frais de réseau revenaient à 48 euros par MWh pour les entreprises présentant une consommation d’au moins 160 MWh en Wallonie, contre seulement 26 euros par MWh en Flandre. Pour l’UWE, toutes ces taxes wallonnes et autres obligations de service public que la Wallonie impose aux entreprises sont un vrai cauchemar. « Les entreprises wallonnes paient la bulle du photovoltaïque. Il y a trop de taxes sur l’électricité. Cela joue sur la compétitivité de toutes les entreprises et plus seulement les plus énergivores ».

Face à un tel handicap, le lobby patronal appelle le monde politique wallon à adopter une norme énergétique régionale, et donc un tarif industriel. « La baisse de la TVA va aider les citoyens, mais pas les entreprises. Il faut entamer une réflexion similaire à celle du Fédéral qui prévoit la mise en place d’une norme énergétique. Il s’agit d’établir un benchmark annuel des coûts de l’énergie vis-à-vis des pays voisins et, en cas d’écart important, des recommandations seront faites pour préserver la compétitivité par une diminution des surcharges sur les quotas de certificats verts et sur les OSP afin de pouvoir maîtriser et réguler les prix. Nous en discutons avec le gouvernement ».

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20.01.22 - La Défense, l’oubliée de la relance

Les gros contrats militaires ne génèrent pas les retombées industrielles promises aux entreprises belges. Le groupe John Cockerill en fait la cruelle expérience avec le marché des nouveaux blindés. « Notre secteur aérien et militaire n’est pas reconnu à la hauteur de ses compétences, analyse le CEO de l’UWE, Olivier de Wasseige. C’est regrettable car c’est un secteur innovant et très structurant. Derrière les quelques grands noms, il y a une ribambelle de sous-traitants qui subiront lourdement la situation. On parle souvent de chaînes de valeur. Nous en avons là une très belle et elle mériterait d’être encouragée ». Olivier de Wasseige salue les 35 millions octroyés à ce secteur dans le plan de relance wallon et la stratégie désormais plus affirmée des pôles de compétitivité Skywin et Mecatech vis-à-vis des projets dans la Défense. Il s’étonne en revanche de l’absence de volet Défense dans le plan fédéral. « Certains pays, nos voisins français par exemple, ont une vraie stratégie, associée à une forme de fierté, visant à avoir un secteur de la Défense très fort, dit-il. Chez nous, c’est très loin d’être prioritaire ».

» A lire dans Trends Tendances

17.01.22 - Les entreprises prêtes à passer à l’électrique ?

À partir de 2026, les entreprises ne pourront plus déduire que les voitures électriques de leurs impôts. La réforme lancée par le ministre Van Peteghem a été comme un coup de semonce: si les ventes de voitures électriques décollent enfin en Belgique (+9,1% en 2021), c’est essentiellement du fait des sociétés. Près de 9 voitures électriques sur 10 sont immatriculées par des entreprises ou des indépendants.

« C’est la priorité du moment dans les entreprises, suite à l’annonce du ministre. Et du coup, c’est un peu le branle-bas de combat, pour savoir comme elles vont gérer cela au niveau des commandes de voitures ou de l’installation de bornes de recharge », atteste Colette Pierard, responsable de la cellule mobilité de l’Union Wallonne des Entreprises, qui aide notamment à la formation de «mobility managers» au sein des sociétés en demande.

» Un dossier (2 pages) sur le sujet est à lire dans L’Avenir

11.01.22 - Quarantaine et absentéisme : le point de vue des entreprises

Omicron se développe, et avec la rentrée, quid de la problématique de l’absentéisme dans les entreprises ? Que mettre en place pour y faire face ? Y-a-t-il un risque de paralysie des activités de certaines entreprises du aux quarantaines à répétition ? Faut-il revoir les règles de quarantaines établies par le gouvernement ? Pour en parler, Olivier de Wasseige, Administrateur délégué de l’Union Wallonne de Entreprises, était l’invité de François Heureux dans l’émission «Matin Première» (RTBF-radio) du 11 janvier dernier.

» Écoutez la séquence sur RTBF-auvio

09.01.22 - Énergie : l'UWE appelle le Fédéral à rapprocher les prix des tarifs à l'international

Si la hausse record des prix de l’énergie frappe de plein fouet les ménages belges, les entreprises ne sont pas en reste. La hausse exceptionnelle de leur facture d’énergie met leur chiffre d’affaires à mal et met leur compétitivité en difficulté. Le patron de l’Union Wallonne des Entreprises (UWE), Olivier de Wasseige, est très inquiet : « Des entreprises me disent envisager la fermeture de certaines lignes et entités dès 2022 ». Devant cette situation, l’UWE exhorte l’Union européenne à trouver une solution stable et pérenne concernant l’approvisionnement de gaz en Europe. Il appelle le gouvernement fédéral à rapprocher les prix de l’énergie chez nous des tarifs à l’international : « Nos entreprises doivent être compétitives, ou les clients iront voir dans d’autres pays, d’autres continents ». Enfin, il rappelle que les entreprises wallonnes paient leur énergie 15% plus cher que la Flandre et les pays limitrophes.

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06.01.22 - Pierre Mottet : «Les objectifs du plan de relance ne sont pas assez clairs»

Dans une longue interview parue dans L’Echo, Pierre Mottet , le nouveau président de l’Union Wallonne des Entreprises, dresse notamment un bilan en demi-teinte de l’action du gouvernement. Pas mauvais dans la gestion de la crise, mais attention à garantir l’efficacité du plan de relance ! « Ce plan fixe des priorités, trace des pistes pour faire bouger les choses, mais il prend trop de temps au démarrage. Or il fallait y aller sans tarder et le réajustement dû aux réparations des inondations n’explique pas totalement ce retard », affirme Pierre Mottet. Et de partager quelques inquiétudes aussi sur la mise en œuvre de ce plan de relance et de reconstruction : « Est-on bien clair sur les objectifs de ce plan et sur la destination des moyens mis en œuvre ? Ce n’est pas le tout de lister des mesures et des budgets dans un plan, il faut s’y tenir et lancer des projets pour y arriver. Et peu importe le chemin que l’on prendra. Il faut se laisser suffisamment de flexibilité, d’agilité et de facultés pour adapter le parcours si nécessaire. L’important, c’est l’objectif. Pas la mesure ! »

Pierre Mottet raisonne à long terme : « Il y a beaucoup d’argent sur la table, en grande partie via de la dette qui engage les générations futures. Si le plan de relance crée de la valeur pour ces générations futures, pas de problème. C’est un investissement qui portera ses fruits. Par contre, si cet argent ne sert qu’à redistribuer des ressources et à saupoudrer aujourd’hui dans des jeux d’équilibres politiques, ce n’est pas justifiable. Il faut bien faire la part des choses entre les mesures de relance et de redistribution des richesses. Et je ne suis pas sûr aujourd’hui que l’équilibre soit bon… Il est donc plus important que l’argent d’un plan de relance soit utilisé efficacement dans les priorités qui comptent pour notre futur plutôt que rapidement, mais sans cohérence ».

» A lire dans L’Echo

05.01.22 - Nouvelles règles de quarantaine : les patrons soulagés mais prudents

Accueil positif du côté des entreprises après les décisions de la CIM Santé, alors que les patrons redoutent un ralentissement de l’activité économique provoqué par une explosion des quarantaines. « Les entreprises sont déjà victimes d’un autre problème de fond, celui de la hausse des prix de l’énergie et de certaines matières premières, relève Olivier de Wasseige, administrateur délégué de l’UWE. Y ajouter une couche d’absence d’une partie des travailleurs, c’est risquer la double peine alors que les carnets de commandes sont bien remplis, mais aussi que la courbe de la reprise arrive doucement sur un plateau ». L’annonce du jour est donc « une bonne nouvelle » pour le patron des patrons wallons, qui demande que les mesures adéquates soient appliquées « dans tous les secteurs ». « A la réouverture des écoles par exemple, il ne faudrait pas que des relâchements dans la rigueur imposée aux élèves augmentent le nombre de contaminations et l’absence des parents en entreprises pour cause de garde ».

» A lire dans Le Soir